Résumé : Dans tous les livres d'Oscar Wilde, apparaissent ce qu'il est convenu d'appeler des " bons mots ", des épigrammes assassines et autres sentences définitives qu'il était tout à fait opportun de réunir. On trouvera donc dans ce livre, grâce à l'élégante traduction de Béatrice Vierne, réponse à toutes les situations de la vie en société, en empruntant à l'un des plus fins causeurs du siècle passé un esprit qui ne doit rien à celui de l'escalier. Qu'on en juge plutôt : " La mode, c'est ce que l'on porte. Ce qui est démodé, c'est ce que portent les autres. " " Aucune pose n'est aussi difficile à soutenir que le parfait naturel. " " Il vaut mieux avoir des revenus assurés que d'être fascinant. " " La grande supériorité de la France sur l'Angleterre, c'est qu'en France tous les bourgeois veulent être artistes, alors qu'en Angleterre c'est le contraire. " " S'aimer soi-même, c'est le début d'une histoire d'amour qui durera une vie entière... " " De nos jours, l'Amérique et nous, nous avons vraiment tout en commun, à l'exception de la langue, bien entendu. " " C'est quand vous commencez à rentrer au petit jour que vos péchés, eux, finissent par sortir au grand jour. " Source : Arléa
N° de Collection : 121
Collection : Arléa-poche
Edité par Arléa
Paru dans cette collection en Février 2008
ISBN : 9782869598034
EAN : 9782869598034
Genre : Poésie
Prix éditeur : 9.50 €
270 pages
Prix reçu pour ce livre
Numéro avant/après
120 | Poésies | Arthur Rimbaud 119 | Histoires de fantômes indiens | Rabindranath Tagore 118 | La crise de foi(e) | Pierre Charras 117 | Promenades africaines | Alberto Moravia 116 | Médée | Pier Paolo Pasolini 121
122 | Une certaine idée de l'Inde | Alberto Moravia 123 | Sur la mort d'Albert Londres | Régis Debray 124 | Marseille, porte du Sud | Albert Londres 125 | Au bagne | Albert Londres 126 | Terre d'ébène | Albert Londres |