Résumé : "Je ne sais si c'est le destin qui m'a poussé à cette tribune..." Ainsi commence le discours que Gao Xingjian a prononcé à Stockholm, lors de la réception du prix Nobel de littérature. Gao Xingjian réaffirme sa foi dans une littérature libre de toute contrainte, où l'écrivain ne représente que lui-même. Étonné que l'on veuille enfin l'écouter, il explique que la littérature reste la seule consolation pour survivre dans un monde fou... et la seule façon pour l'homme de se sentir vivant dans ce monde-là. II nous a semblé important d'adjoindre à la publication de ce discours les dialogues sur l'écriture échangés par Gao et son ami Denis Bourgeois, dialogues qui viennent confirmer l'opinion de l'auteur: "L'écriture, pour moi, c'est un moyen de supporter l'existence." Source : L'aube (Edition de)
N° de Collection : 61
Collection : L'Aube Poche
Edité par Editions de l'Aube
Paru dans cette collection en 2001
ISBN : 9782752604095
EAN : 9782752604095
Genre : Littérature
Toujours édité
184 pages
Prix reçu pour ce livre
Numéro avant/après
60 | La fille du fleuve | Nguyên Quang Thiêu 59 | La raison d'être de la littérature | Gao Xingjian 58 | Des fantômes et des hommes | Nguyên Khac Truong 57 | La petite marchande de vermicelles | Nguyên Quang Thiêu 56 | Une canne à pêche pour mon grand-père | Gao Xingjian 61
62 | Métisse blanche | Kim Lefèvre 63 | La plaine de Caïn | Spôjmaï Zarîab 64 | Un journaliste au coeur de la guerre d'Algérie | Robert Barrat 65 | Le livre d'un homme seul | Gao Xingjian 66 | Le voyageur à la malette | Naguib Mahfouz |