Résumé : "Mon colonel, j'ai à vous dire que la soupe ne vaut rien." Grâce à cette simple phrase, La Guillaumette est entré pour toujours dans l'Ilade du simple soldat français. Il y voisine avec l'adjudant Flick, inventeur de corvées stupides et de punitions imméritées, avec Laplotte et Fricot, les rois du tire-au-flanc, avec le pauvre Laperinne tué par sa propre flemme. Qui peut oublier l'épopée du fromage de têt ou les démélés du bleu avec le cheval Macadam ? Comme dit Courteline lui-même : " Toute l'ânerie militaire est là." Ce grand comique a voulu faire rire du sous-off arbitraire, du capitaine alcoolique, du général absurde, parce qu'il savait que le rire est l'arme imparable. Et quand il a tout dit de ce qui pourrait aussi bien faire pleurer : "l'existence du militaire est pleine de ces heures charmantes", car il partageait aussi l'humour des humbles qui les sauve du désespoir. Source : J'ai Lu
N° de Collection : 142
Collection : J'ai Lu
Edité par J'ai Lu
Paru dans cette collection en 1967
Genre : Roman
Toujours édité
182 pages
Prix reçu pour ce livre
Numéro avant/après
141 | Les fleurs d'Hiroshima | Edita Morris 141 | Les fleurs d'Hiroshima | Edita Morris 141 | Les fleurs d'Hiroshima | Edita Morris 141 | Les fleurs d'Hiroshima | Edita Morris 141 | Les fleurs d'Hiroshima | Edita Morris 142
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