Résumé :
" dans une exposition de collections bizarres qui s'est tenue récemment à Paris, la vitrine de la collection de sable était la moins voyante et pourtant la plus mystérieuse, celle qui semblait avoir le plus de choses à dire...
" Qu'il s'agisse de monstres de cire, des timbres-poste, de la colonne Trajane ou des scènes de voyage au Japon, au Mexique ou en Iran, c'est chaque fois le regard posé sur le monde, à travers l'espace et le temps, qui nous captive et, de là, une réflexion toujours éblouissante sur l'écriture.
Source : Seuil