Résumé :
L'éducation, le divertissement, les médias, les intellectuels, la civilisation marxiste, les femmes et la littérature sont successivement abordés avec un mordant que n'auraient pas désavoué Louis de Bonald ni Joseph de Maistre... Contrepartie de cri-tiques dévastatrices, la dernière partie du livre contient des études sur quelques-uns des grands écrivains de ce siècle, Beckett, Borges, Cioran, Orwell, Valéry. Pour chacun d'eux, ces polémistes irrépressibles manifestent une tendresse classique, brûlante et pudique ensemble. Eric Deschodt, Valeurs actuelles.
Ils y autopsient le crétin à l'école, le crétin en vacances, le crétin médiatisé, le crétin intello, toute une brochette au taux de mortalité extrêmement bas... Mieux que la Boldoflorine, ce sottisier dégage les sinus et ventile les tempes.
André Clavel, L Événement du jeudi.
Désopilants quand ils dénoncent le tourisme organisé, la pub à la télévision, l'apitoiement médiatique ou lorsqu'ils brossent le portrait d'un « prof de gauche », les auteurs se révèlent d'admirables essayistes quand ils confessent leur admiration pour Cioran, Beckett, Borges, le Valéry de M. Teste ou quand ils tâchent d'y voir clair dans la « révolution sexuelle ». Centre-Presse.
Source : Le Livre de Poche
Source : Arléa
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"La prédominance du crétin" est paru dans la collection suivante : | |
Le Livre de Poche
n°6756 |
Librairie Générale Française 1ère édition en 1990 Traduit par Jean-Claude Zancarini |