Résumé :
Ces trois récits de Rose-Marie Pagnard, sans avoir de lien chronologique entre eux, se font écho à travers leur personnage principal, Cornelius, et les thèmes de l’art et de la création. Dans « Le collectionneur d’illusions », Cornelius raconte comment son père, après sa ruine, s’arrange pour suivre à la trace, en parfait illusionniste, sa collection d’œuvres d’art perdue dans des hôtels et des restaurants de luxe. « Le violon de ma mère » fait la part belle au pouvoir imprévisible de l’imagination grâce à la mère de Cornelius, une vieille aveugle qui invente un monde invisible aux autres. « Figures surexposées » est une véritable allégorie surréaliste de l’inspiration et de la création artistiques.
Source : Editions Zoe