Résumé :
Tout comme Les yeux de la tête, ces cavales captives sont prélevées sur L'emploi du temps (1953). Une nuit, veille de 14 Juillet, entre Clichy et Belleville, l'Opéra et Pigalle. Et Desdémone, récif glissant auquel on se cramponne, qui vous fuit et, partant, vous pilote. Une virée chaloupante dans Paris qui fermente, une nuit violente, cliquetante de couteaux et tatouée de morsures. L'écriture de Maurice Raphaël, sans arpentage ni mesure, déverse la splendeur scintillante et pulvérisée d'un feu d'artifice et convoque des monstres postiches, felliniens en diable. Une averse de confettis, des rasades d'étincelles.
Source : Le Dilettante
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Prix reçu pour ce livre
"Les chevaux de bois sont ivres" est paru dans la collection suivante :