Résumé :
« Dans la Chine ancienne, la poésie a atteint des sommets rarement connus dans l’histoire. La poussière des siècles et même des millénaires n’a pu altérer sa fraîcheur et son charme. Elle évoque une peinture dont les larges traits de pinceau, dans leur simplicité, cachent la maîtrise de l’immortel. Cette anthologie, qui va du IVe siècle avant notre ère jusqu’au XIIIe siècle, a pour but premier le plaisir de la poésie, le partage des émotions, les joies d’un voyage dans le temps, dans la vie et l’âme d’un peuple. Ces poèmes savent séduire par la beauté des images, par la profondeur de la pensée, par le rythme et la mélodie, et éveillent dans le coeur de l’homme cette vibration vague et mystérieuse qui fait, de simples mots, la poésie. C’est le chemin vers ce bonheur-là que j’ai voulu montrer. »
Source : Picquier