Résumé :
Corps parfumés, tièdes, fermes. Tous baisés, donnés : dans les prés profonds de l'été, herbes couchées enchev0êtrées, dans les couloirs suintants des maisons de pauvres, sur des divans, des lits qui craquent.
— Jack, mon amour !
— Chérie!
— Embrasse-moi, Reggy !
— Mon petit !
— Mon amour !
Le coeur en branle il poussa la porte du restaurant Burton. L'odeur le saisit à la gorge : sauces de viande pénétrantes, lavasses de légumes verts. Le repas des fauves.
Des hommes, des hommes, des hommes.
Source : Folio, Gallimard