Résumé : Le mari cocu, en France, n'a jamais quitté la scène et rien ne laisse augurer de sa prochaine disparition. Au XIIe siècle, ce malheureux, source inépuisable de rire, avait même un patron : saint Amolphe. L'Amolphe de Molière - au demeurant fort touchant dans son amour pour Agnès - n'a qu'une idée en tête : ne pas « devoir une chandelle » au saint dont il porte le nom. Chrysalde, dans sa sagesse, a beau lui remontrer que cela vaut encore mieux que de traîner après soi une honnête diablesse qui vous fait cher payer « ce petit tort qu'elle ne vous fait pas », rien ne l'en fera démordre. Après tout, d'Arnolphe ou d'Agnès, le plus inno-cent des deux n'est peut-être pas celui qu'on pense ? Source : Le Livre de Poche, LGF
N° de Collection : 76
Collection : Les 100 chefs d'oeuvre qu'il faut lire
Edité par Nilsson (Editions)
Genre : Classique
Toujours édité
125 pages
Prix reçu pour ce livre
Numéro avant/après
75 | Othello | William Shakespeare ; William-Shakespeare 74 | Les batailles de l'Iliade | Homère 73 | Les souffrances du jeune Werther | Johann Wolfgang Von Goethe 72 | Le philosophe sans le savoir | Sedaine 71 | Les bucoliques / Les géorgiques | Virgile 76
77 | Les hommes et les choses au XVIIIe siècle | Nicolas De Chamfort ; Rivarol 78 | Lettres | Madame De Sévigné 79 | Les oiseaux / Plutus | Aristophane 80 | Les surprises de l'amour | Pierre Marivaux 81 | Lettres d'amour à Joséphine / Maximes et pensées | Napoléon |