Résumé :
Le monde de Dos Passos est impossible -comme celui de Faulkner, de Kafka, de Stendhal -, parce qu'il est contradictoire. Mais c'est pour cela qu'il est beau : la beauté est une contradiction voilée. Je tiens Dos Passos pour le plus grand écrivain de notre temps. Jean-Paul Sartre (août 1938)